POUR TOUTES LES FEMMES, QUI SORTENT D'UNE SITUATION DIFFICILE, QUI SOUHAITENT REDONNER DU SENS A LEUR VIE, QUI VEULENT OSER ÊTRE, ÊTRE LIBRE.
Se relever, se redresser, avancer avec confiance, joie et positivité, se réveiller et se révéler, s'autoriser à être dans son yin et son yang ...
Oui c'est possible !
Découvre les bulles "de douceur", "de bonheur", "de joie" et "des sens" pour libérer tes émotions, pour apprendre à renouer avec toi même et révéler ta solarité, féminité, joie d'être et de vivre, dans la positivité et la bienveillance en collectif ou en accompagnement individuel.
Bonjour,
Je suis Valérie, thérapeute en joie de vivre.
J'accompagne les femmes qui ont vécu une (ou des) situation(s) difficile(s), je les aide à se relever positivement et joyeusement.
En accueillant la douleur, en se libérant de leurs émotions négatives, en s'appuyant sur leur potentiel et en révélant leur luminosité pour s'ouvrir, oser être, s'épanouir, et briller pour gai-rire et color-rier leur vie.
J'aide toutes les femmes qui souhaitent se sentir libres d'être, s'autoriser à être en harmonie avec leurs féminités, pensées, désirs, projets, sexualité...
Avis médical
Le thérapeute ou le praticien n’est pas un médecin. En France, selon le Code de la santé publique, seuls les médecins inscrits au Conseil de l’ordre des médecins sont autorisés à diagnostiquer et à traiter une maladie.
Il est important de noter que les pratiques proposées ici ne remplacent en aucun cas une consultation médicale et ne peuvent se substituer à un avis médical. En cas de problème de santé, il est donc nécessaire de consulter votre médecin. Vous ne devrez pas non plus interrompre ou modifier un traitement en cours, ou une prescription médicale.
Je ne guéris ni ne traite une maladie, praticienne en psychologie positive et en résilience je vous accompagne vers un mieux-être.
Concernant la pratique du yoga du rire, que je propose, merci de vous référer à liste des contre-indications.
Voici comment je peux t'aider :
"Toutes les batailles de la vie nous enseignent quelque chose
même celles que nous perdons".
Paulo Coehelo